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Se déployant sur treize pages, le monologue de L’Infini romancier est une prouesse stylistique et l’un des quatre piliers de cette cathédrale dramatique qu’est La Chair de l’homme (1995), le plus ambitieux texte « vers le théâtre » de Valère Novarina. Cette liste vertigineuse et drolatique, qui décline la totalité des verbes synonymes de « dire » en français, constitue sur tous les plans un défi pour l’acteur.